La terre est ronde, moi aussi…

la terre est ronde, moi aussi

La terre a toujours été ronde, moi pas…

Nous sommes quelques-unes, oui plutôt beaucoup,  à être généreuses des hanches, du ventre, des cuisses, (et pas toujours des seins, dommage !)… c’est une réalité,  et tout l’enjeu c’est de savoir comment chacune  va se perçevoir et exister avec ce qui EST aujourd’hui.

Comment nous voyons-nous ?

Etes-vous plutôt de celles qui disent haut et fort qu’elles assument leur surpoids: L’idée c’est de revendiquer le droit d’être comme on est.   Ressembler à des modèles, se conformer aux standards, c’est  juste impossible et contraire à notre envie d’être unique et aimée comme nous sommes. Beaucoup sont très jolies et osent des tenues colorées, près du corps, robes et jupes y compris (pourvu que les marques de vêtements en prennent de la graine …).

Elles ont envie de profiter de la vie, des glaces au chocolat, du moment présent, et le disent ! Souffrir pour maigrir c’est du sadomasochisme, non merci, la vie pour elles c’est autre chose ! Moi je dis « oui », c’est un bout de positif dans ce monde de la rondeur souvent cassant, bizarrement…  Mais est-ce une lutte à l’extérieur et une souffrance persistante à l’intérieur ?

Il y aussi celles, sans doute plus nombreuses, qui souffrent de ces rondeurs,  qui donneraient beaucoup pour les voir disparaître, qui ont renoncé à beaucoup de plaisirs dans la vie pour ne pas se mettre en situation d’être offerte aux jugements des autres. Elles se disent que les rondes, « les grosses » dans la bouche de beaucoup,  sont taxées implicitement de fainéantise, de manque de volonté, d’hyperémotivité, de perte de contrôle de soi, et que personne ne trouve les rondes séduisantes ou belles. Est-là plutôt une lutte permanente à l’intérieur, et une vie timide voire inexistante à l’extérieur ?

Quelque part entre les 2, il y aussi de la place pour se dire que, certes, nous avons conscience que le surpoids est un frein à notre santé, il induit beaucoup d’inconforts au quotidien, et fait vivre régulièrement des épreuves  à notre estime de soi : l’essayage de vêtements par exemple ou la sortie à la plage… Mais comme aujourd’hui ce poids est là, il est vital de vivre avec lui dans une relative paix afin de se donner une chance d’être heureuse ici et maintenant.

Se sentir belle même ronde, oser être une femme expressive et gaie, et réaliser ce qui nous tient à cœur, est à notre portée dès aujourd’hui.   Cela ne veut pas dire que nous sommes résignées à rester comme cela, que nous baissons les bras, au contraire. Le surpoids est  déjà le fruit de souffrances,  alors pourquoi en rajouter en se jugeant en permanence, encore plus fort que ce que font les autres, ou en bravant les préjugés jusqu’à épuisement.

Accepter ce qui est, semble parfois juste impossible. Pourquoi ?

Se trouver belle dans cette robe, boudinée, comment dire ? c’est juste impossible oui c’est ça « impossible » !

femmes rondes

Je suis une femme très ronde …

Aussi vrai que la terre est ronde, une autre évidence : nous avons besoin de manger. Mais manger plus que ses besoins physiologiques indiquent des sources de stress ailleurs, côté émotionnel par exemple que nous apaisons (sans succès) en mangeant. C’est devenu automatique avec le temps …

Il y a tant à dire sur ce sujet, grâce à ce blog, j’en parlerai de temps en temps si cela vous intéresse aussi. Aujourd’hui, ma « grande » expérience de ronde m’amène à partager une piste de réflexion, parce que mieux saisir certaines causes de ce surpoids c’est déjà l’accepter un peu.

Dans la phrase : “je suis une femme ronde”, le mot le plus important c’est Je Suis, ensuite FEMME et finalement, un détail RONDE.

Je suis (et l’estime de soi)

J’ai mis longtemps à réaliser que j’ai de la valeur simplement parce que j’existe. Je suis là, j’ai donc des qualités et des défauts. Je n’ai pas à prouver que j’ai de la valeur, j’en ai comme tout le monde. Je n’ai pas à m’inquiéter de plaire à tout le monde. Je suis aimable, des personnes peuvent m’aimer, vraiment, mais pas toujours celles de la part desquelles j’aurais tant voulu reçevoir de l’amour… Et si j’existe c’est parce que j’ai quelque chose d’unique à apporter autour de moi. Ce que j’ai à faire c’est mettre en scène cette valeur avec sincérité, et faire de mon mieux. C’est vrai pour que chacun de nous, sans exception.

Vivre  n’est pas une lutte permanente, je peux être moi-même, tout simplement.

Nourrir l’estime de soi :

Faîtes une séance photo avec un photographe pour avoir de belles photos de vous,
& offrez-vous ce qui a de la valeur à vos yeux, ce qui rime avec qualité.
Prenez soin de vous, massez-vous y compris votre cellulite et vos vergetures…

Parfois ce qui est difficile c’est de savoir ce pour quoi nous sommes faits

Notre corps pourrait alors être un allié précieux. Même si je suis aujourd’hui encore en grand surpoids, je me nourris avec des aliments variés et sains (mais trop !). C’est essentiel de donner à nos cellules une nourriture saine, bien sûr pour notre santé, mais aussi pour que les cellules bien vivantes communiquent facilement entre elles, que les hormones soient diffusées de façon homogène : C’est crucial pour capter nos intuitions et sentir en nous le bien-être !

Les personnes en surpoids peuvent rester prisonnières de leur mental, donc de leurs peurs et de leurs habitudes, si elles sont coupées de leurs sensations corporelles. Si nous ressentons de la joie, de la passion, de l’envie, il est plus simple et évident de suivre ce cap. Il s’agit donc de recommencer à s’autoriser le plaisir, à s’ouvrir à l’inattendu.

Ce que nous avons de précieux, notre talent,  nous avons à le découvrir par nous-même, et il se fera connaître en se manifestant par beaucoup de joie intérieure à faire une chose en particulier. Les autres percevront aussi ce plaisir et vous le ferons savoir à leur tour. Ecoutons ce que disent les autres de nous. Regardons notre passé aussi,  beaucoup d’indices sont là depuis l’enfance, ce que nous avons aimé faire, nos jeux, et activités, lieux préférés….  Notre surpoids actuel est une grande source d’enseignements, décryptons-les pour enfin aller plus loin, dépasser ce que nous avons subi pour devenir actrice de sa vie.

Notre corps nous parle sans cesse, est-ce que nous  chercherions à le faire taire en l’assommant de nourriture à digérer ? Et si nous comprenions que notre corps nous veut du bien, et que c’est en  lui que sommeille les sources de notre bonheur, faisons la paix avec lui…

jeux d'enfants

(Oser être une)  femme

Une fois que nous perçevons mieux en quoi nous pouvons être utile, ce qui est difficile c’est aussi d’oser l’exprimer, et de le « faire » tout bêtement… Des habitudes, des mémoires familiales ou sociétales nous mettent dans la tête que la réussite, le bonheur ne sont pas pour nous !

Etre une femme, c’est clair pour tout le monde. Etre épanouie, à l’aise, fière, heureuse d’être une femme, c’est déjà moins évident.  Tant d’images de stars nous montrent des femmes magnifiques, désirables, désirées,  séductrices, séduisantes, il est vite rentré dans notre tête que nous sommes certes des femmes mais avec peu de choses en commun avec ces femmes là.

Si pourtant !  la féminité c’est le sourire que nous nous faisons d’abord à nous-même. Est-ce que le regard des autres n’est pas juste le reflet de la façon dont nous nous regardons. Si nous voulons que ce regard change, changeons d’abord le nôtre ?

Là où nous ne nous sentons pas à l’aise, sourions, regardons les autres dans les yeux.
Quand une personne juge une autre personne, soyons- celle qui est bienveillante.
Quand une autre femme est jolie, disons lui.
Quand un homme nous parle, disons ce que nous pensons vraiment.

Et observons comme tout change tranquillement autour de nous : Moins de stress, plus de partage, de relations agréables, d’opportunités, moins de tentations du côté du frigo…

robe jaune

Une personne qui retrouve le chemin de son bonheur, fait avancer le monde… Certaines sont rondes, d’autres minces, d’autres encore c’est autre chose, mais ce ne sont que des apparences différentes qui nous invitent toutes dans la même direction:  Notre apparence nous enseigne quoi de nous, de notre talent ?  Notre apparence est là pour nous encourager, nous rappeler notre défi : quand oserons-nous être nous-même et bien dans notre peau ?

Je pense au père jaouen, très philosophe :

« Démerdez-vous pour être heureux, les autres  ont besoin de votre bonheur »…

Suite au prochain épisode ?
Je serais ravie d’échanger avec vous sur vos astuces pour accepter ce qui est, vos découvertes sur le sens de certains fardeaux que nous portons, ou si vous avez des questions…
Libre à vous !

Crédits photo : browndresswithwhite, monkeysellbanana.tumblr.com, 38 – Picnic session inspiration, cognacandcoffee.tumblr.com, nadine court

 

21 réponses
  1. sybille
    sybille dit :

    Elise, longtemps (plus de 20 ans) , j’ai lutté avec mon poids (boulimie-anorexie), tout ça pour correspondre à l’image que je voulais et à l’image que l’on attendait de moi….combien de souffrances jusqu’au jour où j’ai pris conscience que ma Vie était un mensonge…j’ai choisi d’aller regarder la souffrance…petit à petit j’ai banni le mot régime de ma vie…petit à petit le mot respect l’a remplacé…le mot plaisir aussi…Et ces kilos que l’on trouve en trop viennent nous dire quelque chose de nous…à chacune d’écouter pour s’aimer…parce que l’on amour qui vient de l’extérieur, nous pouvons l’attendre longtemps si nous ne savons pas nous le donner d’abord… Et alors les kilos en trop sont partis…l’équilibre c’est installé et la culpabilité à profiter des plaisirs aussi…je suis fière de ça, d’être aller me confronter à mes peurs, à cette souffrance que je voulais nier en mangeant trop ou en ne mangeant pas assez.Cette victoire fait partie de mes plus belle parce que aujourd’hui, je peux profiter de l’instant de vie qui se présente à moi…Et ça commence avec l’AMOUR de SOI…mes pensées pour celles qui souffrent…le meilleur possible existe…

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    • Elise
      Elise dit :

      Chère Sybille, votre témoignage est précieux pour réaliser que c’est possible… Un grand merci ! je crois beaucoup que dire ouvertement toutes ces choses et apprentissages, peut inspirer bien des femmes à (oser )retrouver le chemin du plaisir, du bien vivre avec soi, et avec les autres…
      Heureux hasard, lisez le matin magique du jour …
      http://www.matinmagique.com/fe20.html

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    • Elodie
      Elodie dit :

      Merci beaucoup Sybille pour votre témoignage qui m’a complètement ouvert les yeux. Actuellement, je suis en surpoids cela fait deux ans et demi que j’essaye de combattre ces kilos superflus. Je fais un travail sur le psychologique et l’alimentaire avec une psycho-diététicienne qui au lieu de penser à vous peser dés qu’elle vous voit sa première question à chaque rendez-vous est : “Comment allez-vous ?”… Après lecture de votre post j’ai fais le lien entre tout cela et en effet, c’et vrai, je pense que pour perdre ces kilos il faut aller creuser bien plus loin, comprendre comment sont ils apparus et pourquoi. Il est vrai que quand je faisais une taille 40 je me sentais pas plus vivante et heureuse qu’en faisant une taille 46 aujourd’hui. Cela prouve bien que le problème à la base n’est pas le surpoids mais l’estime de soi et l’amour que l’on se porte… Alors merci beaucoup j’ai ouvert les yeux et je vais essayer de travailler ce sujet et qui sait peut être que la perte de poids se fera naturellement à partir de l’instant où je m’aimerai moi, la personne que je suis au fond et pas cette image en face de mon miroir… milles merci !

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  2. Céline
    Céline dit :

    Merci Elise pour cet article engagé et engageant. J’ai une superbe citation à vous faire partager à ce sujet, je l’ai lu au détour d’une magazine féminin il y a bien des années, je l’ai toujours gardé dans un coin et fut l’une des phrases qui m’a donné envie de créer mon blog :
    “Marianne James, comment faites-vous pour être aussi belle ?
    – J’ai un entourage solide, mes batailles me semblent justes, j’ai le cuir d’un rhinocéros, et pourtant le coeur si fragile… je n’ai honte ni de mes mots, ni de mes formes, ni de mes larmes. Est-ce là la vraie beauté ?”

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  3. Flo
    Flo dit :

    Je suis très touchée de votre riche article Elise, et des commentaires de Sybille et Céline. Mes rondeurs, mon poids, mon corps sont une longue histoire : 41 ans de lutte avec la nourriture, avec le sport et les essayages de pantalons et jupes. Pour me rendre compte que cela est dû à un manque d’amour maternel dès ma naissance, suivi d’une absence de reconnaissance de mon entourage pour finir par des moqueries à l’école… Les mots pourtant posés sur les raisons profondes de mon complexe corporel, mon inconscient m’a fait perdre du poids sans régime particulier, juste un rythme professionnel “no stop”. Contente de flotter dans mes pantalons taille 40… L’an passé, à la même période, à la veille de mes 41 ans, mon Coeur a crié STOP par un infarctus suivi d’une défibrillation auriculaire qui m’a valu un électrochoc (dans tous les sens du terme). Depuis, j’écoute mon coeur, mon corps avec les rondeurs que j’ai repris suite à mon licenciement de ma vie “no stop”. Et, je me sens mieux car réconcilier avec moi même. Cela m’a redonné envie d’oser… Un long parcours instructif dont l’estime de soi est important. Je partage la phrase d’Elise que le prêt à porter devrait y prendre de la graine.
    D’ailleurs, si vous avez quelques tuyaux pour trouver marque, boutique de pantalons pour femme normalement constitué c’est-à-dire avec des hanches, je suis preneuse…
    A très bientôt.

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    • Elise
      Elise dit :

      Chère Florence, Je suis sûre que votre témoignage fera du bien à beaucoup de femmes, moi y comprise. Il y a une sorte d’urgence à s’aimer, et aussi à aimer les autres tels qu’ils sont, la vie est courte ! Tant de belles choses sont à vivre… Osons.
      Bravo pour tout ce chemin parcouru et de le partager ici, cela fait beaucoup de bien assurément !
      Et pour les marques de vêtements, avis aux connaisseuses…. de mon côté, je trouve que contacter une couturière et se faire une tenue sur mesure, même simple, c’est magique : moins de vêtements mais des vêtements qui nous vont bien, qui nous plaisent, à nos couleurs… A essayer ?

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  4. Isabelle
    Isabelle dit :

    Un très beau texte Elise qui me parle évidemment, car je ne m’épanouis pas dans mon surpoids, j’en souffre, lorsque j’essaie des vêtements bien sûr mais aussi au quotidien, ne pas pouvoir courir derrière les enfants par exemple ça me rend triste, mais pour l’instant j’ai trop de choses à régler dans ma vie, pour m’attaquer sérieusement au problème, mais j’y réfléchis, je ne veux pas me lancer dans n’importe quoi pour perdre du poids non plus

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    • Elise
      Elise dit :

      Et que tu as raison de ne pas vouloir faire n’importe quoi pour maigrir… “Faire” devient vite “lutter”, et ce serait pire. Le surpoids touche l’être, et pour découvrir ce qui se joue derrière cette protection, cette habitude, chacune parcourt un chemin unique. Le moment viendra et tu sauras le reconnaître, en attendant prends soin de toi, renoue chaque fois tu le peux avec le PLAISIR. Carpe diem. Merci beaucoup Isabelle pour ton message.

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  5. claire
    claire dit :

    Bonjour, je m’appelle Claire, je suis etudiante et je suis une femme ronde par la force des choses.
    Quand j’étais au collège je me faisais insulter et cela me faisait beaucoup de mal j’essayais de faire comme si ces choses ne me faisaient pas mal. Mais la quand je vais en cours, j’ai l’impression qu’on me regarde de haut en bas et je voudrais savoir comment faire pour ne moins souffrir et envoyer chier les gens qui me regardent.
    Merci encore de bien lire mon message.
    Biz Une femme qui veut juste être écouter

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    • Elise Le Pallabre
      Elise Le Pallabre dit :

      Bonjour Claire,
      Je vous remercie de votre message très touchant. J’entends bien que vous souffrez du regard des autres, il est vrai que les personnes regardent, il est vrai aussi que nous imaginons ce qu’elles peuvent se dire, et nous pourrions être surpris si on leur demandait ce qu’elles pensent réellement. Nous aussi regardons les autres avec du jugement parfois, mais est-ce vraiment important finalement si une personne que l’on croise ne nous trouve pas belle ou qu’elle n’ait pas envie de nous connaître, d’autres en auront envie, portons notre attention sur celles avec qui le courant passe. Nous sommes tous différents, alors les autres nous regardent pour notre poids, notre taille, nos yeux, notre écharpe, notre allure, ou pour rien, juste parce qu’on se croise.
      Mais la question essentielle n’est pas là. La vraie question c’est le regard que vous portez sur vous, si vous imaginez le pire dans la tête des autres c’est que vous avez ces pensées dans votre tête aussi à votre encontre.Ce n’est bien ni mal, c’est ainsi aujourd’hui, et la bonne nouvelle, c’est que vous ne pouvez pas changer les autres mais si vous changez votre regard sur vous-même, les autres et les choses changeront aussi autour de vous.
      Avez-vous essayé de sourire aux personnes quand elles vous regardent? C’est ce que j’essaie de faire le plus possible et c’est déjà quelque chose qui allège le rapport à l’autre.
      C’est vrai aussi que c’est tout un travail d’apprendre à s’aimer, je ne peux que vous conseiller de trouver une 1ère personne qui vous aidera, psychothérapeute ou coach ou des livres, des formations, et le reste suivra.
      Si vous souhaitez être écouté et c’est une belle motivation, continuez, allez voir des personnes dont c’est le métier, vous avancerez à grand pas. Ne vous gâchez pas la vie avec ce que pensent les autres. Utilisez votre temps, votre vie, pour connaître vos atouts, vos talents et les mettre en oeuvre, là vous serez heureuse que les autres le voient et vous aiment pour cela.

      Je vous invite à regarder cette vidéo :

      http://www.youtube.com/watch?v=Ox7eNV2I6eA&feature=share&list=PL661985291A26AF72

      et ce site plus largement : la voie de l’amoureux : http://lavoiedelamoureux.com/

      Belles découvertes à vous…

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    • vaccard
      vaccard dit :

      claire, les personnes qui vous regarde,ce disent peut être tout simplement que vous êtes belle avec vos rondeurs.une ronde a beaucoup plus de charmes.vos vêtements vous habille vous n’êtes pas un sac d’os,un porte manteau.vive les rondes. vous êtes harmonieuse.

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  6. snoopatty
    snoopatty dit :

    j’ai lu tous vos messages, et je ne me reconnais dans aucun :(
    j’ai toujours été “ronde modérée” j’ai épousé l’homme de ma vie… j’ai eu 3 magnifiques enfants (j’ai 3 petits enfants) je n’ai plus de thyroïde depuis 6 ans, et vlan, maintenant la ménopause qui hésite à venir ??? et des régimes ??pff, j’ai du perdre 500 kgs !!!!!!!!!!!!!!
    j’ai fait Weight Watchers, ai perdu 1/10 de mon poids, pas mal me direz vous ??? sur un an …
    j’en ai repris 3 en 1 an aussi….. YES
    je me déteste, je fais 83 kgs pour 1.60 m, la honte !!!
    j’ai du bide, des gros bras qui pendent, de la cellulite sur les cuisses, un double menton !!! la totale
    je suis blonde-gris aux yeux bleus… mon mari me dit m’aimer comme je suis…. mais “bave” devant des S. Marceau et autre A. Karembeu, et il voudrait que je le crois….
    et moi, je serai plutôt V. Damidot (que je trouve trés jolie)
    bref, je me hais… je me tire la langue devant la glace et voudrais rentrer sous terre….
    je fais toujours attention à ce que je mange et compte mes “points” à chaque repas, mais rien de rien… j’en ai marre
    j’ai mm vu une psychiatre, et elle m’a dit “quand je vous regarde, je vous trouve pas ‘dégueulasse” à regarder……….???????????????? et vlan , c’était l’électrochoc pour me faire réagir, mais çà n’a pas marché…. QUE FAIRE
    AU SECOURS !!!! des fois, je pense à me foutre en l’air, mais je pense à mes petits enfants que j’aime par dessus tout et qui s’en foutent que je sois forte ….

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    • Elise Le Pallabre
      Elise Le Pallabre dit :

      Bonjour Snoopatty,
      Je suis sensible à votre désespoir, c’est une vraie souffrance. Aussi vrai que votre souffrance a besoin d’être entendue et reconnue, le mieux-être viendra d’un accompagnement pour donner du sens à cette souffrance, et découvrir qui vous êtes vraiment. Cette souffrance ce n’est pas vous, vous êtes une personne pleine d’atouts et de forces comme chacun d’entre nous, cette souffrance peut s’apprivoiser et vous pouvez aller mieux, vous connaître mieux pour vous aimer mieux. Pour ma part je n’ai pas vu qu’une seule personne, parfois le contact passe, parfois pas. Mais ne renoncez pas à vous faire aider, vous méritez d’être bien, d’être aidée. En vous lisant j’ai pensé à Caroline Burel : http://www.carolineburel.com, son 1er entretien est gratuit, vous saurez ainsi si vous sentez l’ envie d’avancer avec elle. Ne lâchez pas, si vous êtes là sur cette Terre, il y a une très bonne raison, et c’est en cherchant que l’on trouve. Vous allez trouver… c’est toujours le bon moment pour apprendre et avancer. En m’écrivant ce message, vous manifestez déjà entre les lignes que vous avez envie d’avancer, que vous êtes prête à commencer à prendre soin de vous.
      Je vous souhaite d’oser aller voir des personnes qui sauront vous accompagner et de goûter de plus en plus à la beauté de la vie.
      Chaleureusement…

      Répondre
      • snoopatty
        snoopatty dit :

        Merci, mais j’avance pas à pas dans un “travail sur moi”
        j’ai beaucoup parlé à une amie qui est dans le “social” qui me connait depuis longtemps, qui ne me juge pas et me réconforte.. et elle, que je trouve si jolie, blonde, grande, mince… ne se trouve pas jolie ??!!
        alors, là… je me dis qu’on n’est jamais contente de se qu’on a !!!
        et puis, j’ai parlé avec mon mari, qui m’écoute et me réconforte, qui me remonte le moral…. mais, en fait, je crois que je n’accepte pas de vieillir, tout simplement …
        et comme j’ai beaucoup de soucis d’arthrose, je suis passée travailleur handicapée à cause d’une hernie discale lombaire et becs de perroquets sur les cervicales, je ne travaille plus, donc,
        je suis souvent seule et je ressasse toute la journée, (mon mari part la journée entière)
        bref, voilà les Fêtes, je vais gâter mes enfants et mes petits bouts…
        je fais pas mal d’activités manuelles (scrapbooking-carterie, tricot-crochet) je vais rebondir …
        encore une fois, jusqu’à la prochaine !!!!

        Répondre
  7. Rachel
    Rachel dit :

    je viens de tomber sur cet article. Je suis ronde, 75 kg pour 1m57, je sais que je ne serai jamais mince à cause de ma corpulence, je suis forte de base. En 2 ans j’ai pris 15 kilos à cause du stress et de la gourmandise. Je vis avec un homme qui aime mes formes mais il m’arrive souvent de ne pas le croire… Je n’ai jamais compris pourquoi j’étais autant obsédé par mon poids jusqu’à c’que je percute que tout était de la faute de mes parents. Depuis l’adolescence ils me disaient de faire attention a c’que je mangeais, “fait attention tu va grossir, attention tu commence a avoir un double menton..” même quand je faisais un poids correct je les entendais me dire “tu as grossis”. Aujourd’hui quand je vais les voir, j’angoisse de les entendre me dire “tu te pèse des fois ? non parce que tu sais t’as grossis” … Ils n’arrêtent pas de me repéter que c’est pour ma santé, selon eux une personne en bonne santé est une personne mince… Mais est-ce qu’ils pensent des fois a ma santé mentale ? non… . Je fais semblant de ne pas entendre leur remarque comme si ça ne m’atteignais pas. Je repousse de plus en plus mes visites chez eux…

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    • Elise Le Pallabre
      Elise Le Pallabre dit :

      Bonjour Rachel ! Je vous remercie beaucoup pour votre message. C’est une étape essentielle de voir d’où peut venir le souci, de reconnaître les failles de ses parents, cela fait parti de notre construction : se différencier de nos parents, de notre éducation. Ce qui serait intéressant pour avancer davantage, ce serait d’en parler avec un thérapeute, afin d’exprimer tout ce qui vous tient à coeur, et de pouvoir répondre ensuite et mettre vos limites à vos parents sereinement. Vous avez tout à gagner à apprendre à laisser vos parents penser ce qu’ils pensent et à affirmer votre propre façon de voir les choses, apprendre aussi à répondre par vous-même à vos stress, questions, et rêves de vie, à renforcer votre confiance en vous, quelque soit l’avis des autres. Un thérapeute est une des façons de gagner du temps et de dépasser ces situations bien inconfortables et douloureuses qui ne méritent pas de prendre tant de place dans notre cerveau. Vous avez tant de belles choses à vivre, non ? et vous avez un mari qui vous aime, c’est immensément précieux! Prenez le temps qu’il faudra pour faire la paix avec tout cela, mais prenez soin de faire un 1er pas en demandant de l’aide à des professionnels, c’est je crois ce qui pourrait vous soulager. Je vous souhaite plein de bonheurS en 2014, et de voir en vous toute votre valeur…

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  8. Delphine
    Delphine dit :

    Bonsoir,

    Je suis tombée par hasard sur votre article en tapant “Mincir ou s’accepter” sur Goggle. Je mesure 1m70 pour 71,8 kilos. Mon Imc est presque à la normale, deux ou trois kilos et c’est bon.. A vingt ans, ce n’est pas si énorme que ça. Alors pourquoi lire cet article ? Je ne suis considérée comme ronde, ni obèse. Je l’ai lu et approuvé parce que ce sont des choses que j’aurai dû faire dès mon plus jeune âge. Je n’aurai pas dû faire des régimes à 15 ans, 17 ans, me priver pendant des semaines et reprendre après. Je n’aurai dû me focaliser sur des corps que je voyais à la télé, sur des critiques que l’on pouvait me laisser en pleine figure. Mais quand on est jeune, ce n’est si simple. J’ai pris du poids à partir de mes neufs ans suite à un événement assez dur qui s’est passé dans la famille. Je pense que dans le fond, je culpabilisais sur le fait que mon père puisse vouloir partir de ce monde. On avais des soucis du voisinage. Moi, j’avais de soucis avec les gamins de l’école. Je pensais sûrement que c’était de ma faute et puis, ce genre de choses ne laisse pas indifférent. Ce qui est “ironique” dans cette histoire, c’est que si par la suite, j’ai continué à prendre du poids, à manger pour soigner ma douleur intérieure, pour m’apaiser, c’est mon père lui-même. C’est ironique. Je prends du poids parce que je culpabilise de son acte et ensuite, je prends du poids parce qu’il me fait souffrir et fait souffrir ma maman sous mes yeux. Après, j’ai perdu, repris. Je faisais le yoyo sans que ça se vois, car je ne tenais pas tant que ça les régimes. La nourriture était un soulagement, un échappatoire. Dur de s’en débarrasser. C’est en 2012 que j’ai commence à réellement maigrir. J’ai déménagé donc perte de repère, nouvelles habitudes à prendre. Nouveau logement etc.. Je l’ai mal pris et puis, j’ai perdu 4 tailles en un mois et demi. J’ai fais peur à pas mal de personnes. Même à des gens qui se fichaient de moi à la base. Puis, j’ai repris, à cause du stress du bac. Mon père aussi. J’ai pas supporté reprendre et j’ai développé comme des troubles alimentaires, mais pas si grave que ça puisque aujourd’hui, cela va mieux. Puis, ensuite, j’ai lâché prise. Je ne sortais plus donc je pouvais faire un peu n’importe quoi avec la nourriture. C’est seulement en ayant repris le sport il y a presque un an (juin 2013) que j’ai voulu remincir à nouveau. J’ai perdu 7 kilos environ. au début, j’étais à 78, maintenant 71.8. C’est tres progressive. Je tiens à ne pas reprendre. A ne pas faire les même erreurs que font beaucoup de filles. Elles se privent, ne mangent plus que des salades, des viandes maigres. Non, ce n’est pas pour moi. Je l’avoue, je suis gourmande, j’aime manger et je ne veux plus que ce plaisir redevienne un fardeau comme pendant des années avant. Alors, je fais attention tout en prenant plaisir et un jour par semaine, je me fais plaisir. Je ne reprends pas. Je descend, monte de 300 grammes parfois, mais rien de plus. De septembre à décembre, je me pesais tous les jours. Je faisais attention à ce que je mangeais. Me donnait au sport. Je voulais tout contrôler et me suis vite aperçue que j’étais plus en train de tomber dans un cercle vicieux et que si je continuais j’allais plutôt vers l’anorexie boulimie que vers la liberté et la paix en moi, choses que je recherche par desuus tout. Mon souhait n’est pas d’être mince de faire du 38. Non, je ne l’ai jamais souhaite. De part, parce que je n’ai pas envie d’être comme les autres. J’ai envie d’être moi, avec mes formes. J’ai des formes que d’autres ont pas autant en profiter non ? Puis, je sais que je ne pourrais pas. J’ai le dos creusé ce qui fait ressortir mon ventre et j’ai un intestin plus long que la normale donc tout ça empêche la minceur totale. Je veux juste m’affiner, être voluptueuse en quelque sorte. Pour moi. Pas pour les autres. Je me fiche depuis 2011 de leur regard. Même avec des formes, je m’habille en couleur. Vert, bleu, rouille, violet. J’aime. C’est ma personnalité et je ne vais pas me mettre tout le temps en noir parce que je fais du 42 44. On est des humains, on est ce qu’on est. Je pense que si le fait de s’accepter telle que l’on est est difficile, c’est à cause de ces personnes qui nous humilient dans la rue, dans la cour de l’école, au boulot, chez nous. Je pense que c’est à cause de ces personnes-là qu’on a du mal à se mettre en avant et à dire “Je suis ce que je suis, je suis bien comme ça. Je me plais et je vous emmerde”. J’ai longtemps eu du mal, mais même temps, non. J’aurai aimé avoir cette état d’esprit dès le début. Au lycée. Mais c’est avec le temps que l’on acquit ce genre de pensée. Comme on dit, Rome ne s’est pas construit en un jour. Depuis janvier, j’arrivais enfin à m’apprécier, à me dire “Ouais, c’est vrai mes fesses sont bien, mes jambes aussi”. J’arrivais à voir ce qui me plaisais à moi, car au début, j’étais certes contente de moi, mais je voyais toujours quelque chose qui n’allait pas. Là, ça fait trois ou quatre jours, j’ai du mal. Je ne sais pas pourquoi . Peut être que je ne suis pas satisfaite de moi en sport, que je ne fais pas le peu que j’avais prévu cette semaine, alors forcément je me vois grossir, des hanches comme ci, alors que je suis sûre demain, à la balance, je n’ai pas pris ou simplement trois cent gramme comme quelques fois le lundi quand je me pèse. C’est normal. On fait pas tout le temps le même poids. Il y a beaucoup de facteurs pris en compte. Puis, on ne s’aime pas tous les jours. Il y a forcément des moments où l’on se dénigre au lieu de se valoriser. Pour revenir à ce que vous avez dis dans votre article, je l’ai trouvé fort intéressant et enrichissant. De nos jours, on voit énormément d’articles sur le fait qu’il faut maigrir, qu’il ne faut pas avoir trop de formes, qu’il faut se muscler et j’en passe des vertes et des pas mûres, alors vos mots ne pouvaient qu’être bénéfique. Ca e fait du bien. Je pense qu’à partir de demain, je vais amplifier ces conseils. Je pense qu’il ne faut pas oublier que le physique n’est qu’éphémère. Ce n’est qu’une enveloppe. Ce qui compte chez un humain, c’est le coeur. C’est ça qui fait toute sa différence et c’est pour ça aussi que je veux montrer que oui, nous, les femmes enrobées, ronde ou même obèses, on a des formes, mais qu’on est des humains, qu’on a de la valeur, des qualités et qu’avant tout, nous sommes des humains. J’aimerais mettre dans la tête des gens cette politique là que je mets sans cesse en avant quand j’écris sur le sujet sur mon blog ou sur Facebook ou ailleurs, quand j’en parle. J’ai longtemps penser que je ne pouvais pas faire de danse avec mes kilos en trop. A une époque je suis arrivée à 80 – 82 kilos pour mes 15 ans il me semble et j’ai toujours rêvé de faire de la danse. Ma image des filles mince à la télé m’ont tout le temps arrêté. Mais j’ai eu un déclic quand j’ai suivi une émission, Danse avec les stars et que j’ai Laurent Ournac dansait. J’aime beaucoup cet homme et le voir danser comme il le faisait m’a fait un électrochoc. Je me suis dis “Mais pourquoi s’arrêter à quelques kilos en trop ? Si lui peut le faire, toi aussi tu peux”. Alors, depuis septembre je fais de la danse. Le fait que je sois inscrite dans une école qui fait du sh’bam -cours de fitness- a accentuer la chose vu que ce sont les même personnes qui gère la danse. Le trois quart des filles qui dansent sont mince voir maigre -pour moi-. Je me suis dis “Purée, dans quoi tu t’ai mise ?”. Je ne pensais pas tenir, mais en fait, si. Je tiens et même plus que je ne le pensais. Aller à la danse me fait beaucoup de bien. Ca m’aide à accepter mon corps et surtout à montrer que même avec des formes, on peut danser. C’est pour ça que je veux m’accepter telle que je suis maintenant. Je me suis fixée un objectif de 65 kilos pour un 1m70, car pour moi, c’est très bien 65 kilos pour ma morphologie et ma personnalité. Longtemps, je me suis mise en tête “Maigrir, tu t’accepteras. Tu te sentiras belle et fine. Tu te sentiras mieux dans ta peau”. Et bah, non, la preuve. Je maigris, mais ce n’est pas assez et ça le sera jamais parce que mon esprit en voudra encore plus. Mon corps voudra toujours maigrir et ça, je ne veux pas. Donc j’ai arrêté cette pensée et c’est pour ça que j’ai tapé “Mincir ou s’accepter” sur Internet. Même si je ne suis pas concernée par le fait que je suis ronde, vos mots sont réconfortant pour toutes les femmes et filles qui peuvent être enrobées comme moi. Vraiment. Je vais pouvoir m’endormir sur mes deux oreilles et me dire que je n’ai pas tort de vouloir m’accepter comme je suis.

    Bien à vous :).

    Ps : Je suis désolée pour ce long commentaire. Votre article m’a tellement inspirée que je n’ai pas vu les lignes défilées. De plus, comme j’écris beaucoup d’origine, ça se répercute partout ou je passe…

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    • Elise Le Pallabre
      Elise Le Pallabre dit :

      Bonjour Delphine,
      Ce serait une bonne idée d”écrire votre blog, non ? Cela vous permettrait d’être lue, de vous exprimer et d’aider d’autres à avancer avec vous sur ce chemin de l’estime de soi, de la féminité… Je vous remercie de votre beau message, écrire est très constructif, je vous encourage à oser créer votre blog. Ce que vous écrirez à votre manière sera précieux. Ce commentaire ne valorise pas assez votre démarche. Vous le ferez ? et envoyez-moi le lien si vous le faîtes…
      Je suis touchée que cet article vous ai inspiré, c’est un beau cadeau.. Merci et surtout continuez ainsi à exprimer les choses, vous y trouverez le sens au fur et à mesure.

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  9. Caly
    Caly dit :

    Bonjour ,
    Je tombe ” par hasard ” ( ??? ) sur ton blog .
    Je vais me permettre de te tutoyer , j’espère que tu ne m’en voudras pas ?
    Je vais te dire une chose : L’apparence , elle NOUS tue !
    Tu vois , moi j’ai 56 ans ( et demi ) .
    Jeune , j’étais + que ronde . 78 kgs pour 1 m58 .
    J’ai perdu oui , au prix d’une anorexie ( 30 kgs en 1 an ) . Repris avec la grossesse ( + 13 ) . Reperdu comme ça . Là je suis à 50 kgs pour tjrs 1m58 .
    MAIS !!!!!!!
    Le mais , c’est qu’avec l’âge , on ramollie . On se ” flasque ” , surtout quand on ne peux plus faire de sport ( j’ai une fibromyalgie ) .
    Bien sûr je rentre dans les jeans 36 , mais dessous … c’est pas beau !!!!
    Bien sûr je mets des petits hauts mignons , mais dessous … c’est pas beau !!!!!
    Ce que je sais ” dessous ” me gâche la vie , m’empêche d’aller vers quelqu’un . Me bloque !
    Finir ma vie toute seule , c’est mon seul horizon .
    Alors les filles , Mesdames et Mesdemoiselles qui passez par ici , ne faites pas comme moi , VIVEZ !!!!!!!
    VIVEZ votre vie avec un joli sourire , en faisant fi de ce qu’on essaie de nous faire gober à la TV ou autre !!
    On n’a qu’une vie .
    Soyez heureuses , soyez vivantes , rondes ou pas , minces ou pas !
    Je vous le dis haut et fort : La vie passe très très très vite !!!!!!!!!! Et un jour … ben , c’est trop tard !

    Bizzz à toutes .

    La ” vieille ” qui regrette les années perdus …

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    • Elise
      Elise dit :

      Bonjour Caly
      Je vous remercie beaucoup pour votre message qui réveille et je l’espère inspire celles et ceux qui liront !
      Ici et Maintenant, c’est vrai !
      Et si la vie n’a plus de piment, c’est le moment d’aller voir un thérapeute pour aider à regarder les choses sous d’autres angles, non ?

      Répondre

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